Figurez-vous que la pollution aide à lutter contre le réchauffement ! C’est à peine croyable mais en écoutant l’analyse d’un groupe de scientifiques britanniques on comprend le fonctionnement de ce cercle vicieux. Quand l’air des grandes villes est pollué, les plantes et les arbres ont tendance à réagir naturellement à cette agression. Ce stress respiratoire les incite à jouer leur rôle modérateur en conséquence. Ils absorbent donc de plus grandes quantités de CO2. Au contraire quand l’air redevient plus pur, la végétation se met au vert et emmagasine beaucoup moins de C02. La morale de cette équation serait donc de combattre le mal par un moindre mal. Un peu de pollution oui mais avec modération !