Selon Michel Jarraud, premier secrétaire de l'Organisation Météorologique Mondiale : Dans les pays les moins avancés, chaque dollar investit dans les services météorologiques permettra d'en gagner dix en cas de catastrophe naturelle. Dans ces pays où les moyens sont très bas, les intempéries peuvent engendrer une baisse du PNB de 15%. Il conclue par le fait que «faute d’investir comme il convient dans les Services météorologiques et hydrologiques nationaux (SMHN) des pays les moins avancés (PMA), on compromettrait la lutte contre la pauvreté et l’on perpétuerait la vulnérabilité aux aléas climatiques, dont les cyclones tropicaux, les inondations et la sécheresse».