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Très populaire en France, Nicolas Hulot est notre Al Gore. A la différence près qu'il a l'air plus jeune, plus sexy et qu'il n'est pas un homme politique. Alors que la campagne présidentielle s’est focalisée sur Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy, un tremblement de terre s’est produit dimanche dernier. L’hebdomadaire, le Journal Du Dimanche a propulsé la fusée Hulot sur le devant de la scène. Il est expert depuis longtemps des habitudes des média. Il est de loin meilleur que tous les candidats pour délivrer son message écologique. Le public adhère car il n'est pas candidat ! Son livre "pour un pacte écologique" paraît aujourd'hui. 120 000 exemplaires seront disponibles dans les librairies. Le pacte sera étudié avec la plus grande attention par les postulants au Palais de l'Elysée.
Very popular in France, Nicolas Hulot is our Al Gore. He looks younger, sexier and he is not a politician. Whereas the Presidential campaign was focused on Ségolène Royal and Nicolas Sarkozy, a tremor has just happened last sunday. The weekly magazine, the JDD propelled the Hulot rocket to the front of the scene. He’s familiar with media for a long time and he is from far better than all candidates to deliver his ecological message. French public follows him. His book "For an ecological pact" has just been published today with 120 000 copies available in book stores. It will certainly be read with much attention by the applicants for the French presidency.
Je vois que tu gardes une très forte sensibilité envrionnementale, Philippe.
Il faut que je te parle d'un projet de portail de webzines participatifs qui pourrait t'intéresser. Il devrait y être question, entre autre, d'environnement.
Le teasing devrait débuter d'ici 15 jours sur mon blog :-)
Rédigé par : Laurent | 07/11/2006 à 01:36
Nicolas Hulot ne dérange pas tant que ça ... les gens, point du tout, les candidats non plus. Il n'y a pas d'enjeu politique autre que celui de la plausible récupération de cet homme et de sa pensée. Nicolas résistera-t-il à l'apauvrissement de celle-ci comme d'aucun sociologue des rues n'a su le faire ? Le problème du vote écologique, c'est qu'il n'englobe jamais l'intégralité des problématiques et des réponses à chercher de notre monde, certes pollué, pollueur, libéral (mais non libre)... quelle réponse crédible à l'absence d'emploi ? Quelle prise de conscience du sort des femmes dans notre société ? Leur discours est sur ces exemples de points par trop enrôleur et inactif. L'écologie est donc bien plus une pensée transversale, nécessaire à notre devenir mais bien plus encore aux candidats, qui ne sauraient en faire l'impasse ... Que chacun reste à sa place, les chercheurs d'un côté, les politiciens de l'autre, ce qui n'empêche nullement les premiers de se faire entendre et les seconds de les écouter, voire de les consulter. Petit avis rapide histoire de participer (de lancer ?) un débat avec les passagers de ce blog ...
Free
Rédigé par : Freemind | 07/11/2006 à 09:56