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« Il est possible que le plus grand nombre de cyclones soit l’une des conséquences du réchauffement climatique » annonçait hier Greg Holland, expert du National Center for Atmospheric Research aux Etats Unis. Une information reprise par les médias américains après l’année 2005 rythmée par de nombreux phénomènes violents (dont le plus connu « Katrina ») Différents analystes tablent sur une hausse moyenne de la température de la mer des Caraïbes qui favorisera la formation d’ouragans. Cette année, les services américains annoncent une saison active mais un peu moins violente que la précédente où 14 cyclones ont été dénombrés.
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