Le coût du réchauffement climatique pourrait coûter 1000 milliards de dollars d'ici à 2040. Cette esitmation vient d'être rendue publique par les experts mandatés par les Nations Unies à l'occasion de la conférence de Nairobi. La plupart des compagnies d'assurance et de réassurance s'accordent sur la future montée des eaux des mers et océans due aux changements climatiques. Le coût des dégats envisagés pourrait donc s'élever à 1000 milliards de dollars. Cette projection prend en compte les pertes dues aux sécheresses, aux raz-de-marées, aux ouragans et inondations. Le coûts des catastrophes naturelles pourrait doubler tous les douze ans.
Driven by climate change, weather disasters could cost as much as a trillion dollars in a single year by 2040, financial experts warned at the UN's conference on global warming. Most insurance and re-insurance companies have no doubt that the rising tide of losses from weather-related disasters is linked with climate change. The possibility of a one-trillion-dollar-loss year is one scenario out of many, but whatever the precise figures the losses are already large and set to increase. The trillion-dollar projection comprises total losses -- as compared with only insured losses from droughts, storm surges, hurricanes and floods. It is sketched as a peak year in a scenario stretching until 2040 and is based on the calculation that the long-term costs from extreme natural disaster events are doubling every 12 years.
Si vous êtes vraiment motivés pour avancer dans la recherche de solutions au problème du réchauffement climatique (qui n'est pas le seul problème, n'oublions pas la biodiversité qui diminue, les océans qui se vident, l'érosion des terres arables, la pollution de l'eau, de l'air, des sols, etc...), je recherche des partenaires (c'est-à-dire des gens comme vous, si, si !) pour développer une organisation engagée dans cette voie: "O".
L'idée: les petits gestes dont tout le monde parle sont insuffisants, il est nécessaire de modifier plus en profondeur notre mode de vie, c'est à dire, entre autres, ne plus prendre l'avion, se passer de la voiture le plus souvent possible (le mieux étant de ne pas en acheter), changer ses habitudes alimentaires (moins de viande, de fraises en février, de raisin d'Afrique du Sud), habiter près de son travail et plutôt dans un appartement en ville, et moins consommer en général...
Rien d'impossible, et pourtant ces changements nécessaires sont très difficiles à accepter parce que contraires au fonctionnement actuelle de notre société, basé sur la production (et donc le travail, l'emploi, l'utilité sociale et le statut qui lui sont associés) et la consommation (et donc l'appartenance à un groupe social et la recherche du prestige) de biens et de services, ce qui s'accompagne toujours ou presque de pollutions diverses. Comme nous avons tous besoin de travailler et que nous voulons tous accéder à une certaine reconnaissance sociale, agir efficacement contre le réchauffement climatique est très difficile, nous n'y arriverons pas si nous ne donnons pas de la valeur sociale (de l'estime, de l'admiration, de l'envie) aux conduites à tenir.
Objectif: renverser la vapeur en valorisant socialement ceux qui agissent de manière responsable (c'est à dire qui cherchent à minimiser leur empreinte écologique), essayer d'imaginer un mode de vie durable et accessible à tous et enfin, ce qui rejoint un peu le premier point, inventer d'autres moyens de cohésion et de valorisation sociale que le travail et la consommation, ou alors les orienter vers des activités environnementalement soutenables.
Si vous êtes intéressé, allez faire un tour sur le site suivant:
http://jean.chamel.free.fr/o
et n'hésitez pas à me contacter pour plus d'informations en écrivant à [email protected]
Rédigé par : Jean | 25/11/2006 à 21:42